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Catégorie : Satire

7 septembre 2021

Voici quelques promesses parues dans les médias des 18 derniers mois :

  • Le vaccin devait amener à l’immunité collective : c’est faux ;
  • le vaccin devrait protéger les autres par une transmissibilité du virus diminuée : c’est faux ;
  • une dose, puis deux, devaient suffire à éradiquer l’épidémie : c’est faux.

Malgré un nombre incroyable de prédictions fausses, la plupart des gens continuent à croire les personnes mêmes qui les ont communiquées. « On ne pouvait pas savoir » disent-ils. « C’est une totale surprise » disent-ils.

Après tant de prédictions fausses de la part des experts, on peut se demander qui sont réellement les experts ? À qui peut-on réellement faire confiance maintenant ? Certainement pas à ceux qui ont fait les affirmations ci-dessus, et qui les ont assénées comme des vérités universelles pour répondre à la population qui a besoin de sa dose de certitudes.

Le scepticisme et la prudence sont les seules positions valides dans un tel contexte, où la complexité des sujets et des enjeux est à son paroxysme, probablement la situation sociologiquement la plus complexe que l’être humain ait vu. Paradoxalement, il est moins risqué de croire ceux qui ont conscience de ne pas avoir découvert toute la vérité. Comme le disait Socrate : « ce que je sais, c’est que je ne sais rien ».

Mais il n’en est rien. La suite est donc de continuer dans l’erreur, sans prendre le temps de réfléchir et corriger. Il faut accélérer les mesures pour augmenter la stupeur de la population. Nous allons donc injecter encore plus, confiner encore plus, bloquer l’économie encore plus. Il s’agit de pousser la logique de l’idée à son extrémité sans aucune censure par les faits.

Et surtout, nous allons contrôler les déplacements physiques et les activités de la population. Car c’est bien de cela dont il s’agit : le totalitarisme.

Une de mes connaissances, après avoir reçu la seconde injection, a fait une réaction forte. Son bras est resté enflé durant plus de deux semaines, avec des chaleurs et douleurs très désagréables. Cette personne va maintenant faire vacciner ses deux enfants afin qu’ils puissent accéder à leurs activités sociales favorites : sport, musique, etc.

La motivation est claire : il ne s’agit pas de protéger ses enfants contre un dangereux virus, mais bien de leur permettre d’avoir un accès à leurs pairs et une vie sociale « normale ». Elle se couche malgré ses convictions et effectue ainsi une action qui, une fois rationalisée (dissonance cognitive), l’amènera à reproduire plus facilement la suite des injonctions qu’on va lui intimer de faire.

Sauf que les deux injections ne suffiront pas. Puisque le discours ambiant est « l’immunité collective », et que certaines études publiées récemment tendent à montrer que l’efficacité de la protection diminue rapidement avec le temps, les personnes ayant mis le doigt dans le mécanisme se sont en fait abonnées à une dose récurrente tous les 5 mois.

Vous avez reçu 2 doses d’expérimentation génique, maintenant on va exiger de vous que vous receviez la 3e afin que vous soyez autorisé à avoir une vie sociale encore 6 mois de plus. Allez-vous à nouveau vous coucher ? La compromission est partout, c’est le pendant de la brutalité.

Malgré leurs réticences, certains se plient à la volonté des autres. Ils sont conformes. Beaucoup se voient forcés de collaborer, sous peine de mort sociale et professionnelle.

Vous n’êtes pas sans savoir qu’il devient de plus en plus difficile de supporter le contexte professionnel en tant qu’employé. Les différentes politiques d’entreprise ont transformé la place de travail en un champ de mines. Cerise sur le pompon des 30 dernières années : il sera maintenant obligatoire d’obéir à la politique sanitaire (ou ce qui va suivre) pour pouvoir prétendre à un emploi.

Ceux qui constatent qu’il est de plus en plus difficile de se conformer doivent réagir et prendre des mesures :

  • Partir du pays ? Non, c’est la même politique partout ;
  • Se mettre à l’assistance sociale ? Il ne s’agit pas d’une solution durable et vous êtes dépendant du système social, qui inexorablement va manquer de fonds ;
  • Devenir criminel et s’approprier ses moyens de subsistance à travers la violence ? La probabilité de mal finir est très élevée ;
  • Se laisser mourir ? Ce n’est pas une option.

Si ces quatre variantes ne vous conviennent pas, il reste la seule viable à long terme : créer sa propre activité et collaborer avec d’autres indépendants qui ont la même vision que vous.

Il sera ainsi possible de créer une économie permettant aux différentes personnes impliquées de mettre de la nourriture sur la table et un toit sur la tête, tout en créant un espace de liberté qui n’existe plus dans les grandes corporations et l’État.

Au-dessus de tout, cette économie permettra aux différents protagonistes d’avoir la liberté de pouvoir débattre et d’échanger des points de vue dans une démarche ouverte et critique, alors que c’est de facto devenu interdit dans le monde du salariat. Dans cette sous-culture, on ne brûlera pas les livres sur la place publique.

Et la bonne nouvelle ? Peu importe votre status « pass » ou « pas pass », vous allez être très probablement obligé de devenir un entrepreneur, vu la crise économique qui est en développement et qui durera une décade. Rien de tel qu’un bon pied au cul pour un changement de direction radical. La nécessité amène la créativité.

Faites de cette crise une opportunité pour progresser. Cela peut passer par le fait de se mettre à son compte, et ainsi maîtriser la politique appliquée sur votre place de travail. Arrêtez de vous soumettre puis de trouver des excuses à vos décisions. Car de quoi s’agit-il ici ? : de la colère que vous avez envers vous-même de ne pas avoir réalisé ce que vous désirez le plus.

Faites de cet environnement mortifère le terreau de votre propre positivité. Transformez, tel l’alchimiste, le plomb en or. Prenez vos responsabilités et arrêtez de mettre sur le compte de « la société » tous les choix que vous avez faits jusqu’à ce jour. Car ce sont ceux-ci qui vous amènent à être sous forte tension.

Et si vous échouez ? Recommencez, jusqu’à ce que vous réussissiez. La seule différence entre une personne qui a réussi et une qui a raté, c’est que la première n’a pas abandonné. On échoue par défaut, par conséquent il faut garder le cap pour atteindre le but. Embrassez l’incertitude, c’est la seule chose dont on est certain.

Laissez-vous rejeter par les autres, autorisez-vous à être un marginal, c’est probablement la meilleure chose qui puisse vous arriver. Puisque le mouvement est à l’isolation sociale, créez une nouvelle société.

C’est maintenant le moment, la croisée des chemins. Soit vous vous conformez et vous mourrez symboliquement, soit vous vous prenez en main et vous dessinez une destinée plus libre pour vous et vos proches. À vous de choisir si vous voulez être un esclave ou un homme libre.


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