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Catégorie : Vision du monde

12 juin 2016

Dédicacé à Martin Prescott, mon ami d’outre-mer.

***

On oppose souvent, particulièrement dans la sphère francophone, l’argent à la spiritualité. En effet, on juge les personnes riches comme suspectes. De longues lignées familiales ont considéré que devenir riche et s’élever dans l’échelle sociale étaient non seulement des ambitions risibles, mais également une honte. C’est ainsi que, génération après génération, des clans entiers sont restés empêtrés dans la pauvreté, les individus se conformant à la culture familiale pour ne pas être rejetés par leurs pairs.

Ce qui est vrai pour les tribus l’est également pour les sociétés entières. Il suffit d’observer les commentaires populaires, qui qualifient « les riches » comme étant un corps social différent d’eux-mêmes, dont il ne faut surtout pas faire partie, qui ne pensent qu’à leur intérêt personnel.

Là où le bât blesse, c’est que souvent, les personnes ou les familles riches matériellement sont abordables, plutôt sympathiques et charismatiques. A contrario, les personnes qui critiquent les riches, sont plutôt agressives, frustes et incohérentes dans leur argumentation.

N’y aurait-il pas une corrélation entre le fait d’avoir une moralité élevée et le fait d’être riche financièrement ?

En réalité, on constate que la richesse financière est souvent le résultat d’un comportement riche au niveau spirituel. Le comportement qu’une personne ou une société a, avec sa devise, est la représentation de son état spirituel, de sa congruence et sa cohérence.

Que va faire une personne en détresse émotionnelle avec son argent ? Elle va consommer afin de se distraire, donc détruire de la monnaie en la dépensant. On peut dire que les personnes qui n’arrivent pas à différer une récompense, ou incapables de gérer leur état émotionnel, font disparaître leur richesse financière. Par exemple, la consommation de tabac fait partir en fumée la monnaie, au sens propre comme figuré (les pauvres sont deux fois plus à fumer que les riches). Ce comportement autodestructeur au niveau physique l’est également au niveau financier.

Que va faire un investisseur avec son argent ? Il ne va pas profiter immédiatement de celui-ci, il va différer la gratification, pour récolter les fruits de son investissement, plus tard. Par ce comportement, il va mettre à disposition sa richesse au service d’un tiers qui va l’utiliser pour développer un projet, au profit de la communauté en général. Paradoxalement, l’investissement est la méthode de charité la plus efficace, car il profite au plus grand nombre, y compris à ce méchant capitaliste qui ne pense qu’à s’enrichir !

C’est là qu’intervient le concept de dette. Une dette est l’inverse de l’investissement. Il s’agit de consommer tout de suite sans en avoir les moyens, et de différer la douleur que représente le remboursement de ladite dette. La personne ou la société qui contracte une dette avance dans le temps une gratification pour repousser l’effort à plus tard.

Ainsi, dans le monde matériel, la monnaie est la chose la plus spirituelle qui soit, car il est aisé de déterminer la moralité d’une personne en observant son comportement face à l’argent. Celui qui fait briller à crédit est l’inverse de celui qui s’enrichit sans l’exprimer de manière ostentatoire. Toutes les émotions sont exacerbées lorsque de l’argent est en jeu, toutes les énergies sont concentrées dans les transactions financières.

Les sociétés occidentales ont contracté une masse de dette impossible à rembourser, et cela est représentatif de la moralité et de la spiritualité des dites sociétés. Arrêtons de crier au loup en accusant les politiques et les banques centrales de détruire nos devises, cela n’est que la représentation de l’incapacité des populations occidentales à différer la récompense. Elles veulent tout, tout de suite. L’effondrement moral précède l’effondrement monétaire.

Arrêtons également de vilipender les « riches », et tentons de les imiter afin d’augmenter la moralité générale de la société, et par conséquent sa richesse matérielle. Prenons nos responsabilités et cherchons les bons exemples, car, si les escrocs et les voleurs existent, ils sont toutefois autant représentés parmi les personnes aisées que parmi les plus modestes.


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  • Super comme article! Un article bien intéressant, spiritualité et finance ne sont pas forcément si éloignés 🙂
    Ça change des sites conspi, qui n’arrêtent pas de cracher sur le nouvel ordre mondial, illuminatis et banques, montrer que tout va péter au niveau bancaire, et au final c’est contre-productif.

    • En effet, arrêtons de se focaliser sur les super-riches liés aux cartels étatiques, et concentrons-nous sur les véritables créateurs de richesse et d’abondance, qui sont souvent dans des situations très périlleuses !

      Merci de votre remarque, salutations.

  • Bonjour Eric,

    En parcourant les reflets de votre âme (vos écrits) dans le seul but de me faire mon sentiment sur votre état d’esprit (pour rester dans la spiritualité) et sans y vouloir porter le moindre jugement, je tenais à vous remercier pour ce don de vous-même.

    Néanmoins, et d’autant plus que vous dédicacez votre texte à Monsieur Martin Prescott dont j’ai pu percevoir un état d’éveil de la conscience assez exceptionnel ainsi que le très beau chemin (spirituel) qu’il emprunte, quoi que puissent en dire les trolls de tous poils, pourriez-vous m’ôter d’un doute si le clivage que vous soulevez ne relève que de constatations factuelles et personnelles et, le cas échéant, ce que vous me répondriez si je vous demandais si vous-même croyez en dieu, Monsieur ?

    Si ma question vous semblait trop personnelle ou simplement déplacée, je comprendrai, sans vous en tenir la moindre rigueur, que vous m’éludiez et décideriez de ne pas me publier.

    Cash ou langue de bois ? Je ne pense pas me tromper à croire que vous méritez le cash…

    Vous me semblez être quelqu’un de très perspicace, et c’est pour cette raison que je m’interroge encore, ne m’en veuillez pas, sur les raisons profondes qui vous ont conduites précisément à ce partage.

    Ma démarche n’est pas anodine. Peut-être qu’elle n’aboutira à rien et ce sera alors bien comme çà. Ou peut-être nous conduira-t-elle à emprunter un chemin ensemble quelques temps ? Qui vivra verra. N’y voyez aucune malice de ma part, je reste très attentif à la manière dont vous semblez évoluer. Honnêtement, j’en suis au stade où vous m’intriguer.

    Pour ma part et pour revenir au sujet, je préfère considérer que les monnaies ne relèvent d’aucune spiritualité, qu’elles ne sont qu’objets « manipulés de toute pièce » et que ce sont bel et bien les valeurs qu’elles suscitent qui font comment les hommes la conçoivent. En clair, la fiducie reposant actuellement sur les valeurs, notamment, de cupidité et d’usure, comment voudrions-nous qu’elles soient alors autrement conçues ? La lex monetae parle bien d’extinction libératoire d’une dette… Comme si, dans le cas contraire, le débiteur reste un esclave… Ce qui, souvent d’ailleurs, est bel et bien perçu comme tel. Mais la question qu’il faudrait alors se poser ne serait-elle pas de la dernière finalité du moyen de cet objet ainsi que les raisons réelles de sa manipulation ?

    Car s’il n’était nul besoin de monnaie pour cette finalité, alors comment se pourrait-il qu’il y ait encore la moindre possibilité d’esclavage sinon uniquement contrainte et forcée ? Comment se comporteraient alors les hommes si leurs besoins fondamentaux étaient satisfaits grâce à d’autres valeurs qui feraient exister un tel « nouveau » moyen monétaire ?

    Alors qu’ils soient « pauvres » ou « riches » financièrement aurait-il encore la moindre importance pour leur « richesse » spirituelle ? Cela ne dépendrait-il pas de leur seule capacité personnelle ? Ne remarquiez vous pas justement que quelqu’un d’affranchi des contraintes de notre époque semblait plus « intéressant » à vos yeux ou est-ce là un simple quiproquo ou une mauvaise interprétation de ma part ? N’hésitez pas à m’en corriger.

    J’ai lu des réactions, vos réponses, j’en ai quelque peu compris les raisons. Et vous ?

    Peu importe le contenu, la cause profonde de la réaction est bien plus instructive à mon sens.

    Ne voulez vous pas prendre un peu de hauteur de vue ? Élevons nous ensemble un instant je vous prie :

    Demandez vous la raison qui m’a fait moi-même réagir… Vous vous interrogerez alors sur vous-même, et c’est bel et bien là que vous y trouverez non seulement les réponses à votre question initiale mais plus important encore : Vous y trouverez quelle était cette véritable question.

    Vous dîtes : Prenons nos responsabilités…

    Je vous répondrai : Chiche ! En êtes-vous prêt ?

    Vous avez compris qu’une cryptodevise est en réalité un token… Pensez vous qu’Ethereum n’est qu’un simple ordinateur mondial ? Ou en êtes vous dans votre propre prise de conscience ?

    Vous priant de bien vouloir m’excuser si je vous avais ici quelque peu perturbé, mais à mon avis, sur le chemin que vous empruntez, vous n’êtes pas au bout des surprises, soient-elles toujours bonnes pour vous !

    Avec mes meilleurs sentiments et tous mes encouragements.

    Cordialement.

  • Bonjour Eric,

    En parcourant les reflets de votre âme (vos écrits) dans le seul but de me faire mon sentiment sur votre état d’esprit (pour rester dans la spiritualité) et sans y vouloir porter le moindre jugement, je tenais à vous remercier pour ce don de vous-même.

    Néanmoins, et d’autant plus que vous dédicacez votre texte à Monsieur Martin Prescott dont j’ai pu percevoir un état d’éveil de la conscience assez exceptionnel ainsi que le très beau chemin (spirituel) qu’il emprunte, quoi que puissent en dire les trolls de tous poils, pourriez-vous m’ôter d’un doute si le clivage que vous soulevez ne relève que de constatations factuelles et personnelles et, le cas échéant, ce que vous me répondriez si je vous demandais si vous-même croyez en dieu, Monsieur ?

    Si ma question vous semblait trop personnelle ou simplement déplacée, je comprendrai, sans vous en tenir la moindre rigueur, que vous m’éludiez et décideriez de ne pas me publier.

    Cash ou langue de bois ? Je ne pense pas me tromper à croire que vous méritez le cash…

    Vous me semblez être quelqu’un de très perspicace, et c’est pour cette raison que je m’interroge encore, ne m’en veuillez pas, sur les raisons profondes qui vous ont conduites précisément à ce partage.

    Ma démarche n’est pas anodine. Peut-être qu’elle n’aboutira à rien et ce sera alors bien comme çà. Ou peut-être nous conduira-t-elle à emprunter un chemin ensemble quelques temps ? Qui vivra verra. N’y voyez aucune malice de ma part, je reste très attentif à la manière dont vous semblez évoluer. Honnêtement, j’en suis au stade où vous m’intriguer.

    Pour ma part et pour revenir au sujet, je préfère considérer que les monnaies ne relèvent d’aucune spiritualité, qu’elles ne sont qu’objets « manipulés de toute pièce » et que ce sont bel et bien les valeurs qu’elles suscitent qui font comment les hommes la conçoivent. En clair, la fiducie reposant actuellement sur les valeurs, notamment, de cupidité et d’usure, comment voudrions-nous qu’elles soient alors autrement conçues ? La lex monetae parle bien d’extinction libératoire d’une dette… Comme si, dans le cas contraire, le débiteur reste un esclave… Ce qui, souvent d’ailleurs, est bel et bien perçu comme tel. Mais la question qu’il faudrait alors se poser ne serait-elle pas de la dernière finalité du moyen de cet objet ainsi que les raisons réelles de sa manipulation ?

    Car s’il n’était nul besoin de monnaie pour cette finalité, alors comment se pourrait-il qu’il y ait encore la moindre possibilité d’esclavage sinon uniquement contrainte et forcée ? Comment se comporteraient alors les hommes si leurs besoins fondamentaux étaient satisfaits grâce à d’autres valeurs qui feraient exister un tel « nouveau » moyen monétaire ?

    Alors qu’ils soient « pauvres » ou « riches » financièrement aurait-il encore la moindre importance pour leur « richesse » spirituelle ? Cela ne dépendrait-il pas de leur seule capacité personnelle ? Ne remarquiez vous pas justement que quelqu’un d’affranchi des contraintes de notre époque semblait plus « intéressant » à vos yeux ou est-ce là un simple quiproquo ou une mauvaise interprétation de ma part ? N’hésitez pas à m’en corriger.

    J’ai lu des réactions, vos réponses, j’en ai quelque peu compris les raisons. Et vous ?

    Peu importe le contenu, la cause profonde de la réaction est bien plus instructive à mon sens.

    Ne voulez vous pas prendre un peu de hauteur de vue ? Élevons nous ensemble un instant je vous prie :

    Demandez vous la raison qui m’a fait moi-même réagir… Vous vous interrogerez alors sur vous-même, et c’est bel et bien là que vous y trouverez non seulement les réponses à votre question initiale mais plus important encore : Vous y trouverez quelle était cette véritable question.

    Vous dîtes : Prenons nos responsabilités…

    Je vous répondrai : Chiche ! En êtes-vous prêt ?

    Vous avez compris qu’une cryptodevise est en réalité un token… Pensez vous qu’Ethereum n’est qu’un simple ordinateur mondial ? Ou en êtes vous dans votre propre prise de conscience ?

    Vous priant de bien vouloir m’excuser si je vous avais ici quelque peu perturbé, mais à mon avis, sur le chemin que vous empruntez, vous n’êtes pas au bout des surprises, soient-elles toujours bonnes pour vous !

    Avec mes meilleurs sentiments et tous mes encouragements.

    Cordialement.

  • Bonjour Eric,

    En parcourant les reflets de votre âme (vos écrits) dans le seul but de me faire mon sentiment sur votre état d’esprit (pour rester dans la spiritualité) et sans y vouloir porter le moindre jugement, je tenais à vous remercier pour ce don de vous-même.

    Néanmoins, et d’autant plus que vous dédicacez votre texte à Monsieur Martin Prescott dont j’ai pu percevoir un état d’éveil de la conscience assez exceptionnel ainsi que le très beau chemin (spirituel) qu’il emprunte, quoi que puissent en dire les trolls de tous poils, pourriez-vous m’ôter d’un doute si le clivage que vous soulevez ne relève que de constatations factuelles et personnelles et, le cas échéant, ce que vous me répondriez si je vous demandais si vous-même croyez en dieu, Monsieur ?

    Si ma question vous semblait trop personnelle ou simplement déplacée, je comprendrai, sans vous en tenir la moindre rigueur, que vous m’éludiez et décideriez de ne pas me publier.

    Cash ou langue de bois ? Je ne pense pas me tromper à croire que vous méritez le cash…

    Vous me semblez être quelqu’un de très perspicace, et c’est pour cette raison que je m’interroge encore, ne m’en veuillez pas, sur les raisons profondes qui vous ont conduites précisément à ce partage.

    Ma démarche n’est pas anodine. Peut-être qu’elle n’aboutira à rien et ce sera alors bien comme çà. Ou peut-être nous conduira-t-elle à emprunter un chemin ensemble quelques temps ? Qui vivra verra. N’y voyez aucune malice de ma part, je reste très attentif à la manière dont vous semblez évoluer. Honnêtement, j’en suis au stade où vous m’intriguer.

    Pour ma part et pour revenir au sujet, je préfère considérer que les monnaies ne relèvent d’aucune spiritualité, qu’elles ne sont qu’objets « manipulés de toute pièce » et que ce sont bel et bien les valeurs qu’elles suscitent qui font comment les hommes la conçoivent. En clair, la fiducie reposant actuellement sur les valeurs, notamment, de cupidité et d’usure, comment voudrions-nous qu’elles soient alors autrement conçues ? La lex monetae parle bien d’extinction libératoire d’une dette… Comme si, dans le cas contraire, le débiteur reste un esclave… Ce qui, souvent d’ailleurs, est bel et bien perçu comme tel. Mais la question qu’il faudrait alors se poser ne serait-elle pas de la dernière finalité du moyen de cet objet ainsi que les raisons réelles de sa manipulation ?

    Car s’il n’était nul besoin de monnaie pour cette finalité, alors comment se pourrait-il qu’il y ait encore la moindre possibilité d’esclavage sinon uniquement contrainte et forcée ? Comment se comporteraient alors les hommes si leurs besoins fondamentaux étaient satisfaits grâce à d’autres valeurs qui feraient exister un tel « nouveau » moyen monétaire ?

    Alors qu’ils soient « pauvres » ou « riches » financièrement aurait-il encore la moindre importance pour leur « richesse » spirituelle ? Cela ne dépendrait-il pas de leur seule capacité personnelle ? Ne remarquiez vous pas justement que quelqu’un d’affranchi des contraintes de notre époque semblait plus « intéressant » à vos yeux ou est-ce là un simple quiproquo ou une mauvaise interprétation de ma part ? N’hésitez pas à m’en corriger.

    J’ai lu des réactions, vos réponses, j’en ai quelque peu compris les raisons. Et vous ?

    Peu importe le contenu, la cause profonde de la réaction est bien plus instructive à mon sens.

    Ne voulez vous pas prendre un peu de hauteur de vue ? Élevons nous ensemble un instant je vous prie :

    Demandez vous la raison qui m’a fait moi-même réagir… Vous vous interrogerez alors sur vous-même, et c’est bel et bien là que vous y trouverez non seulement les réponses à votre question initiale mais plus important encore : Vous y trouverez quelle était cette véritable question.

    Vous dîtes : Prenons nos responsabilités…

    Je vous répondrai : Chiche ! En êtes-vous prêt ?

    Vous avez compris qu’une cryptodevise est en réalité un token… Pensez vous qu’Ethereum n’est qu’un simple ordinateur mondial ? Ou en êtes vous dans votre propre prise de conscience ?

    Vous priant de bien vouloir m’excuser si je vous avais ici quelque peu perturbé, mais à mon avis, sur le chemin que vous empruntez, vous n’êtes pas au bout des surprises, soient-elles toujours bonnes pour vous !

    Avec mes meilleurs sentiments et tous mes encouragements.

    Cordialement.

  • Je suis entièrement d’accord avec ce que vous dites s’agissant de la seconde partie de votre article, à partir de « Que va faire une personne en détresse émotionnelle avec son argent ? « , tout ce que vous avez écrit est d’une pertinence limpide. Mais en ce qui concerne la première partie, je serais moins affirmatif. D’abord, je crois qu’il ne faut pas idéaliser les riches. Ensuite, à mon sens, ce n’est pas la spiritualité [dans son acception religieuse], mais la connaissance, le savoir économique, financier, et historique qui peuvent amener à la richesse. Encore une fois ce n’est pas la spiritualité mais l’instruction et les aptitudes intellectuelles. Néanmoins, et je suis d’accord avec vous, les « riches » peuvent être « abordables, plutôt sympathiques et charismatiques », l’un n’empêche pas l’autre. Enfin, pour ce qui est de la spiritualité des « riches », tout dépend du rapport que le « riche » a avec l’argent. Si c’est accumuler des richesses pour accumuler, là on tombe dans l’avarice, on s’éloigne du divin, car notre regard se détourne de Dieu et se portent exclusivement sur l’argent, c’est la même chose pour les autres défauts ou péchés, appelez cela comme vous le voulez, (ex: la luxure). A moins que je vous considérez l’argent comme un Dieu (Mammon), auquel cas, c’est différent. Mais si le « riche » accumule dans le but de transmettre un patrimoine à ses enfants, et de faire preuve de philanthropie envers les plus humbles, dans ce cas, la relation que cette personne a avec l’argent est saine, car il a un comportement détaché vis à vis de l’argent, et le spirituel n’est pas envahi pas des pensées vénales. Encore une fois, le schéma est le même pour la luxure (le sexe), la vanité….

    Bravo pour blog.

  • Je suis entièrement d’accord avec ce que vous dites s’agissant de la seconde partie de votre article, à partir de « Que va faire une personne en détresse émotionnelle avec son argent ? « , tout ce que vous avez écrit est d’une pertinence limpide. Mais en ce qui concerne la première partie, je serais moins affirmatif. D’abord, je crois qu’il ne faut pas idéaliser les riches. Ensuite, à mon sens, ce n’est pas la spiritualité [dans son acception religieuse], mais la connaissance, le savoir économique, financier, et historique qui peuvent amener à la richesse. Encore une fois ce n’est pas la spiritualité mais l’instruction et les aptitudes intellectuelles. Néanmoins, et je suis d’accord avec vous, les « riches » peuvent être « abordables, plutôt sympathiques et charismatiques », l’un n’empêche pas l’autre. Enfin, pour ce qui est de la spiritualité des « riches », tout dépend du rapport que le « riche » a avec l’argent. Si c’est accumuler des richesses pour accumuler, là on tombe dans l’avarice, on s’éloigne du divin, car notre regard se détourne de Dieu et se portent exclusivement sur l’argent, c’est la même chose pour les autres défauts ou péchés, appelez cela comme vous le voulez, (ex: la luxure). A moins que je vous considérez l’argent comme un Dieu (Mammon), auquel cas, c’est différent. Mais si le « riche » accumule dans le but de transmettre un patrimoine à ses enfants, et de faire preuve de philanthropie envers les plus humbles, dans ce cas, la relation que cette personne a avec l’argent est saine, car il a un comportement détaché vis à vis de l’argent, et le spirituel n’est pas envahi pas des pensées vénales. Encore une fois, le schéma est le même pour la luxure (le sexe), la vanité….

    Bravo pour blog.

  • Je suis entièrement d’accord avec ce que vous dites s’agissant de la seconde partie de votre article, à partir de « Que va faire une personne en détresse émotionnelle avec son argent ? « , tout ce que vous avez écrit est d’une pertinence limpide. Mais en ce qui concerne la première partie, je serais moins affirmatif. D’abord, je crois qu’il ne faut pas idéaliser les riches. Ensuite, à mon sens, ce n’est pas la spiritualité [dans son acception religieuse], mais la connaissance, le savoir économique, financier, et historique qui peuvent amener à la richesse. Encore une fois ce n’est pas la spiritualité mais l’instruction et les aptitudes intellectuelles. Néanmoins, et je suis d’accord avec vous, les « riches » peuvent être « abordables, plutôt sympathiques et charismatiques », l’un n’empêche pas l’autre. Enfin, pour ce qui est de la spiritualité des « riches », tout dépend du rapport que le « riche » a avec l’argent. Si c’est accumuler des richesses pour accumuler, là on tombe dans l’avarice, on s’éloigne du divin, car notre regard se détourne de Dieu et se portent exclusivement sur l’argent, c’est la même chose pour les autres défauts ou péchés, appelez cela comme vous le voulez, (ex: la luxure). A moins que je vous considérez l’argent comme un Dieu (Mammon), auquel cas, c’est différent. Mais si le « riche » accumule dans le but de transmettre un patrimoine à ses enfants, et de faire preuve de philanthropie envers les plus humbles, dans ce cas, la relation que cette personne a avec l’argent est saine, car il a un comportement détaché vis à vis de l’argent, et le spirituel n’est pas envahi pas des pensées vénales. Encore une fois, le schéma est le même pour la luxure (le sexe), la vanité….

    Bravo pour blog.

  • Monsieur, pourquoi faites-vous l’impasser sur le patrimoine ?

    Comment pouvez-vous comparer un pauvre et un riche, sans parler de patrimoine ?

    Et oui, ça mettrait à mal votre analyse.

    Car entre un smicar qui ne peut rien mettre de coté, et qui n’a rien venant des ses parents et grands-parents, et un riche qui a déjà du patrimoine (maison, appart, terrain, compte en suisse), il est logique, que ces deux personnes réagiront différemment avec leur argent, l’un survit, donc consomme, l’autre est parfaitement à l’aise et a tout son temps pour pauffiner sa petite evasion fiscale, c’est même son gentil banquier qui lui mâche le travail.

    Bref, vous êtes passé à coté de la chose la plus importante, mais est-ce réellement un oublie ?

    • Bonjour Samuel,

      Il ne s’agit pas de chiffres absolus, il s’agit de discipline et d’état d’esprit. J’ai connu des repreneurs d’entreprise, et des enfants de personnes aisées, qui ont mis par terre le patrimoine accumulé par leurs prédécesseurs.

      Il est bien entendu que, lorsqu’on a peu de moyens et qu’on décide d’agir pour améliorer sa situation, le changement prend du temps. Ce n’est toutefois pas impossible, mais il faut être prêt à faire des sacrifices et des efforts, et prendre des risques.

      Il s’agit de viser la progression, même si c’est inconfortable. Je n’ai jamais joué à l’euro-million, je ne fume pas, je ne passe pas mes soirées au bistrot ou devant la télévision. Par contre, j’achète des livres, et des formations où je rencontre des gens exceptionnels. Je cultive un jardin potager communautaire pour accumuler de l’expérience et rencontrer des gens extraordinaires. Je fais régulièrement du sport pour augmenter mon niveau d’énergie.

      Je sais qu’il est très difficile de se débarrasser de ses barrières mentales lorsqu’on est entouré de personnes toxiques. Le plus important est de prendre conscience qu’un autre monde existe, ce qui se produit souvent à l’occasion d’une rencontre.

      Salutations.

  • Monsieur, pourquoi faites-vous l’impasser sur le patrimoine ?

    Comment pouvez-vous comparer un pauvre et un riche, sans parler de patrimoine ?

    Et oui, ça mettrait à mal votre analyse.

    Car entre un smicar qui ne peut rien mettre de coté, et qui n’a rien venant des ses parents et grands-parents, et un riche qui a déjà du patrimoine (maison, appart, terrain, compte en suisse), il est logique, que ces deux personnes réagiront différemment avec leur argent, l’un survit, donc consomme, l’autre est parfaitement à l’aise et a tout son temps pour pauffiner sa petite evasion fiscale, c’est même son gentil banquier qui lui mâche le travail.

    Bref, vous êtes passé à coté de la chose la plus importante, mais est-ce réellement un oublie ?

    • Bonjour Samuel,

      Il ne s’agit pas de chiffres absolus, il s’agit de discipline et d’état d’esprit. J’ai connu des repreneurs d’entreprise, et des enfants de personnes aisées, qui ont mis par terre le patrimoine accumulé par leurs prédécesseurs.

      Il est bien entendu que, lorsqu’on a peu de moyens et qu’on décide d’agir pour améliorer sa situation, le changement prend du temps. Ce n’est toutefois pas impossible, mais il faut être prêt à faire des sacrifices et des efforts, et prendre des risques.

      Il s’agit de viser la progression, même si c’est inconfortable. Je n’ai jamais joué à l’euro-million, je ne fume pas, je ne passe pas mes soirées au bistrot ou devant la télévision. Par contre, j’achète des livres, et des formations où je rencontre des gens exceptionnels. Je cultive un jardin potager communautaire pour accumuler de l’expérience et rencontrer des gens extraordinaires. Je fais régulièrement du sport pour augmenter mon niveau d’énergie.

      Je sais qu’il est très difficile de se débarrasser de ses barrières mentales lorsqu’on est entouré de personnes toxiques. Le plus important est de prendre conscience qu’un autre monde existe, ce qui se produit souvent à l’occasion d’une rencontre.

      Salutations.

  • Monsieur, pourquoi faites-vous l’impasser sur le patrimoine ?

    Comment pouvez-vous comparer un pauvre et un riche, sans parler de patrimoine ?

    Et oui, ça mettrait à mal votre analyse.

    Car entre un smicar qui ne peut rien mettre de coté, et qui n’a rien venant des ses parents et grands-parents, et un riche qui a déjà du patrimoine (maison, appart, terrain, compte en suisse), il est logique, que ces deux personnes réagiront différemment avec leur argent, l’un survit, donc consomme, l’autre est parfaitement à l’aise et a tout son temps pour pauffiner sa petite evasion fiscale, c’est même son gentil banquier qui lui mâche le travail.

    Bref, vous êtes passé à coté de la chose la plus importante, mais est-ce réellement un oublie ?

    • Bonjour Samuel,

      Il ne s’agit pas de chiffres absolus, il s’agit de discipline et d’état d’esprit. J’ai connu des repreneurs d’entreprise, et des enfants de personnes aisées, qui ont mis par terre le patrimoine accumulé par leurs prédécesseurs.

      Il est bien entendu que, lorsqu’on a peu de moyens et qu’on décide d’agir pour améliorer sa situation, le changement prend du temps. Ce n’est toutefois pas impossible, mais il faut être prêt à faire des sacrifices et des efforts, et prendre des risques.

      Il s’agit de viser la progression, même si c’est inconfortable. Je n’ai jamais joué à l’euro-million, je ne fume pas, je ne passe pas mes soirées au bistrot ou devant la télévision. Par contre, j’achète des livres, et des formations où je rencontre des gens exceptionnels. Je cultive un jardin potager communautaire pour accumuler de l’expérience et rencontrer des gens extraordinaires. Je fais régulièrement du sport pour augmenter mon niveau d’énergie.

      Je sais qu’il est très difficile de se débarrasser de ses barrières mentales lorsqu’on est entouré de personnes toxiques. Le plus important est de prendre conscience qu’un autre monde existe, ce qui se produit souvent à l’occasion d’une rencontre.

      Salutations.

  • Super comme article! Un article bien intéressant, spiritualité et finance ne sont pas forcément si éloignés 🙂
    Ça change des sites conspi, qui n’arrêtent pas de cracher sur le nouvel ordre mondial, illuminatis et banques, montrer que tout va péter au niveau bancaire, et au final c’est contre-productif.

    • En effet, arrêtons de se focaliser sur les super-riches liés aux cartels étatiques, et concentrons-nous sur les véritables créateurs de richesse et d’abondance, qui sont souvent dans des situations très périlleuses !

      Merci de votre remarque, salutations.

  • Dans la société Française les riches ne sont pas très appréciés, il semble que ce soit dû à la religion Catholique. Les riches seraient sympathiques et les pauvres agressifs et frustres. Vous pensez qu’on est plus mal reçu chez les gens qui n’ont rien que chez les riches ? Je n’en suis pas certain.Je pense au contraire que les gens qui ont peu sont, toute proportion gardée, plus généreux, dans tous les sens du terme, que les gens très aisés. Les riches prêteraient plus volontiers leur argent pour que les autres en profitent ! Les riches placent leur argent en espérant qu’il leur rapporte. Quelqu’un qui investit son argent dans des actions, son premier but n’est pas d’aider l’entreprise, il espère surtout que cette société va dégager des bénéfices pour pouvoir récupérer des dividendes et revendre demain ses actions à un meilleur prix que lors de l’achat. Et une entreprise qui dégage de bons bénéfices, c’est souvent sur le dos des ouvriers et des employés ; plus elle exploite, plus elle marge ! Le pauvre s’endette car il ne pense qu’à jouir des plaisirs de la vie… Ce n’est pas le cas de la majorité, même si cela existe. Le pauvre s’endette car son salaire ne suffit plus aujourd’hui, contrairement à hier, à vivre décemment, alors que la société l’incite constamment à « consommer pour être heureux ». La société occidentale comme TOUTES LES AUTRES SOCIETES de par le monde sont surendettées car le système bancaire aidé par les politiciens ont tout fait pour cela. Les banques aujourd’hui ne vivent que par et pour la dette. Si demain les pauvres arrêtaient de contracter des crédits, le système s’effondrerait. Si aujourd’hui 1% de la population mondiale détient 40 ou 50% des richesses de cette planète, ils ne l’ont pas gagné à la sueur de leur front. C’est en exploitant le plus grand nombre en la faveur du plus petit nombre. Pendant la période de l’esclavage il y avait quelques très riches propriétaires terriens, car il y avait des des centaines de milliers d’esclaves qui travaillaient gratuitement pour eux. Aujourd’hui l’esclavage a été abolit, mais la situation a peu changée. Quand aujourd’hui on vénère un Steve Jobs comme un demi-dieu et qu’on le site en exemple à la jeune génération, alors qu’il n’a fait qu’exploiter des pauvres chinois pendant des décennies pour créer sa fortune, cela me fait sourire amèrement. Quand on voit une partie de cette jeunesse qui ne rêve que de devenir footballeur pour pouvoir rouler en Ferrari, car on leur montre que la seule réussite c’est l’argent… Je suis triste et inquiet pour leur avenir. Ils risquent de déchanter.

    • Bonjour Claude,

      Si l’on veut donner, il faut tout d’abord posséder.

      J’ai moi-même grandi dans une famille très pauvre où l’on avait pas à manger tous les jours (hé oui, cela existe en Suisse aussi). Je puis vous assurer que, dans mon cas, les croyances limitantes et les jugements à l’emporte pièce étaient légion. Je comprends parfaitement l’état d’esprit dans lequel sont les personnes de condition modeste, qui vivent dans mon quartier, lorsque, en les croisant, je leur souhaite le bonjour et qu’ils me tournent le dos volontairement pour ne pas me répondre.

      A contrario, je côtoie à l’occasion des riches millionnaires et milliardaires qui ont créé leur richesse de toute pièce. Je n’en ai jamais rencontré qui n’ait pas un intérêt à la discussion ou qui n’écoute pas les autres personnes, peut importe leur condition.

      C’est cette différence d’état d’esprit que j’évoque dans l’article. Il est toujours possible de changer sa condition, toutefois cela nécessite souvent une décision forte et un effort colossal pour, ne serait-ce qu’initier le mouvement vers le haut.

      Pour ce qui est de votre exposé concernant le constat de la situation actuelle concernant les grand cartels et l’état de contrainte dans lequel la plupart des gens se trouvent, j’abonde dans votre sens. Les sociopathes qui cherchent à contrôler le monde sont partout, surtout dans les structures étatiques.

      L’important dans tout cela est de se positionner pour prospérer, afin de pouvoir redonner le plus possible. Lorsqu’il n’est pas possible d’agir au niveau macro, agissons chacun au niveau micro.

      Merci de votre intervention.

  • Super comme article! Un article bien intéressant, spiritualité et finance ne sont pas forcément si éloignés 🙂
    Ça change des sites conspi, qui n’arrêtent pas de cracher sur le nouvel ordre mondial, illuminatis et banques, montrer que tout va péter au niveau bancaire, et au final c’est contre-productif.

    • En effet, arrêtons de se focaliser sur les super-riches liés aux cartels étatiques, et concentrons-nous sur les véritables créateurs de richesse et d’abondance, qui sont souvent dans des situations très périlleuses !

      Merci de votre remarque, salutations.

  • Dans la société Française les riches ne sont pas très appréciés, il semble que ce soit dû à la religion Catholique. Les riches seraient sympathiques et les pauvres agressifs et frustres. Vous pensez qu’on est plus mal reçu chez les gens qui n’ont rien que chez les riches ? Je n’en suis pas certain.Je pense au contraire que les gens qui ont peu sont, toute proportion gardée, plus généreux, dans tous les sens du terme, que les gens très aisés. Les riches prêteraient plus volontiers leur argent pour que les autres en profitent ! Les riches placent leur argent en espérant qu’il leur rapporte. Quelqu’un qui investit son argent dans des actions, son premier but n’est pas d’aider l’entreprise, il espère surtout que cette société va dégager des bénéfices pour pouvoir récupérer des dividendes et revendre demain ses actions à un meilleur prix que lors de l’achat. Et une entreprise qui dégage de bons bénéfices, c’est souvent sur le dos des ouvriers et des employés ; plus elle exploite, plus elle marge ! Le pauvre s’endette car il ne pense qu’à jouir des plaisirs de la vie… Ce n’est pas le cas de la majorité, même si cela existe. Le pauvre s’endette car son salaire ne suffit plus aujourd’hui, contrairement à hier, à vivre décemment, alors que la société l’incite constamment à « consommer pour être heureux ». La société occidentale comme TOUTES LES AUTRES SOCIETES de par le monde sont surendettées car le système bancaire aidé par les politiciens ont tout fait pour cela. Les banques aujourd’hui ne vivent que par et pour la dette. Si demain les pauvres arrêtaient de contracter des crédits, le système s’effondrerait. Si aujourd’hui 1% de la population mondiale détient 40 ou 50% des richesses de cette planète, ils ne l’ont pas gagné à la sueur de leur front. C’est en exploitant le plus grand nombre en la faveur du plus petit nombre. Pendant la période de l’esclavage il y avait quelques très riches propriétaires terriens, car il y avait des des centaines de milliers d’esclaves qui travaillaient gratuitement pour eux. Aujourd’hui l’esclavage a été abolit, mais la situation a peu changée. Quand aujourd’hui on vénère un Steve Jobs comme un demi-dieu et qu’on le site en exemple à la jeune génération, alors qu’il n’a fait qu’exploiter des pauvres chinois pendant des décennies pour créer sa fortune, cela me fait sourire amèrement. Quand on voit une partie de cette jeunesse qui ne rêve que de devenir footballeur pour pouvoir rouler en Ferrari, car on leur montre que la seule réussite c’est l’argent… Je suis triste et inquiet pour leur avenir. Ils risquent de déchanter.

    • Bonjour Claude,

      Si l’on veut donner, il faut tout d’abord posséder.

      J’ai moi-même grandi dans une famille très pauvre où l’on avait pas à manger tous les jours (hé oui, cela existe en Suisse aussi). Je puis vous assurer que, dans mon cas, les croyances limitantes et les jugements à l’emporte pièce étaient légion. Je comprends parfaitement l’état d’esprit dans lequel sont les personnes de condition modeste, qui vivent dans mon quartier, lorsque, en les croisant, je leur souhaite le bonjour et qu’ils me tournent le dos volontairement pour ne pas me répondre.

      A contrario, je côtoie à l’occasion des riches millionnaires et milliardaires qui ont créé leur richesse de toute pièce. Je n’en ai jamais rencontré qui n’ait pas un intérêt à la discussion ou qui n’écoute pas les autres personnes, peut importe leur condition.

      C’est cette différence d’état d’esprit que j’évoque dans l’article. Il est toujours possible de changer sa condition, toutefois cela nécessite souvent une décision forte et un effort colossal pour, ne serait-ce qu’initier le mouvement vers le haut.

      Pour ce qui est de votre exposé concernant le constat de la situation actuelle concernant les grand cartels et l’état de contrainte dans lequel la plupart des gens se trouvent, j’abonde dans votre sens. Les sociopathes qui cherchent à contrôler le monde sont partout, surtout dans les structures étatiques.

      L’important dans tout cela est de se positionner pour prospérer, afin de pouvoir redonner le plus possible. Lorsqu’il n’est pas possible d’agir au niveau macro, agissons chacun au niveau micro.

      Merci de votre intervention.

  • Dans la société Française les riches ne sont pas très appréciés, il semble que ce soit dû à la religion Catholique. Les riches seraient sympathiques et les pauvres agressifs et frustres. Vous pensez qu’on est plus mal reçu chez les gens qui n’ont rien que chez les riches ? Je n’en suis pas certain.Je pense au contraire que les gens qui ont peu sont, toute proportion gardée, plus généreux, dans tous les sens du terme, que les gens très aisés. Les riches prêteraient plus volontiers leur argent pour que les autres en profitent ! Les riches placent leur argent en espérant qu’il leur rapporte. Quelqu’un qui investit son argent dans des actions, son premier but n’est pas d’aider l’entreprise, il espère surtout que cette société va dégager des bénéfices pour pouvoir récupérer des dividendes et revendre demain ses actions à un meilleur prix que lors de l’achat. Et une entreprise qui dégage de bons bénéfices, c’est souvent sur le dos des ouvriers et des employés ; plus elle exploite, plus elle marge ! Le pauvre s’endette car il ne pense qu’à jouir des plaisirs de la vie… Ce n’est pas le cas de la majorité, même si cela existe. Le pauvre s’endette car son salaire ne suffit plus aujourd’hui, contrairement à hier, à vivre décemment, alors que la société l’incite constamment à « consommer pour être heureux ». La société occidentale comme TOUTES LES AUTRES SOCIETES de par le monde sont surendettées car le système bancaire aidé par les politiciens ont tout fait pour cela. Les banques aujourd’hui ne vivent que par et pour la dette. Si demain les pauvres arrêtaient de contracter des crédits, le système s’effondrerait. Si aujourd’hui 1% de la population mondiale détient 40 ou 50% des richesses de cette planète, ils ne l’ont pas gagné à la sueur de leur front. C’est en exploitant le plus grand nombre en la faveur du plus petit nombre. Pendant la période de l’esclavage il y avait quelques très riches propriétaires terriens, car il y avait des des centaines de milliers d’esclaves qui travaillaient gratuitement pour eux. Aujourd’hui l’esclavage a été abolit, mais la situation a peu changée. Quand aujourd’hui on vénère un Steve Jobs comme un demi-dieu et qu’on le site en exemple à la jeune génération, alors qu’il n’a fait qu’exploiter des pauvres chinois pendant des décennies pour créer sa fortune, cela me fait sourire amèrement. Quand on voit une partie de cette jeunesse qui ne rêve que de devenir footballeur pour pouvoir rouler en Ferrari, car on leur montre que la seule réussite c’est l’argent… Je suis triste et inquiet pour leur avenir. Ils risquent de déchanter.

    • Bonjour Claude,

      Si l’on veut donner, il faut tout d’abord posséder.

      J’ai moi-même grandi dans une famille très pauvre où l’on avait pas à manger tous les jours (hé oui, cela existe en Suisse aussi). Je puis vous assurer que, dans mon cas, les croyances limitantes et les jugements à l’emporte pièce étaient légion. Je comprends parfaitement l’état d’esprit dans lequel sont les personnes de condition modeste, qui vivent dans mon quartier, lorsque, en les croisant, je leur souhaite le bonjour et qu’ils me tournent le dos volontairement pour ne pas me répondre.

      A contrario, je côtoie à l’occasion des riches millionnaires et milliardaires qui ont créé leur richesse de toute pièce. Je n’en ai jamais rencontré qui n’ait pas un intérêt à la discussion ou qui n’écoute pas les autres personnes, peut importe leur condition.

      C’est cette différence d’état d’esprit que j’évoque dans l’article. Il est toujours possible de changer sa condition, toutefois cela nécessite souvent une décision forte et un effort colossal pour, ne serait-ce qu’initier le mouvement vers le haut.

      Pour ce qui est de votre exposé concernant le constat de la situation actuelle concernant les grand cartels et l’état de contrainte dans lequel la plupart des gens se trouvent, j’abonde dans votre sens. Les sociopathes qui cherchent à contrôler le monde sont partout, surtout dans les structures étatiques.

      L’important dans tout cela est de se positionner pour prospérer, afin de pouvoir redonner le plus possible. Lorsqu’il n’est pas possible d’agir au niveau macro, agissons chacun au niveau micro.

      Merci de votre intervention.

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